Les animaux pendant la guerre.

Pays |
Pays France |
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Métrage |
Métrage 347 m |
Durée |
Durée 0:18:57 |
Genre |
Genre Documentaire |
Réalisation |
Réalisation SCA-SPCA |
Générique |
Générique Baudouin, Robert Henri Camille (Opérateur) ; Blanc, Charles (Opérateur) |
Résumé |
Résumé Durant le premier conflit mondial, les animaux peuvent aussi bien servir comme montures, mascottes, attelages ou nourriture.? ?Après une séance de dressage et quelques ruades, les chevaux sont utilisés dans les escadrons de cavalerie et comme animaux de bât pour le transport d’un groupe de mitrailleurs sur voiturette. Ils demandent des soins quotidiens tant au niveau du pansage que du ferrage. Des Vosges à la Mer du Nord, ils attendent, « piaffant d’impatience », que les routes leur soient ouvertes.?En Arabie et en Palestine, ce sont les chameaux qui remplacent les chevaux. De selle, ils transportent les bédouins, de trait, l’artillerie de montagne. Ils sont aidés en cela par des bourricots qui quoique têtus demeurent dociles. Partageant les dangers de l’homme, ils ont droit à toute leur tendresse.?Les mulets sont aux chasseurs alpins ce que le cheval est à la cavalerie. Ils sont employés dans les Vosges comme porteurs de mitrailleuses ou de ravitaillement. Leur aisance à grimper les cols de montagne est en effet très appréciable.?L’armée à travers la Croix Verte, soigne avec sollicitude les chevaux, ânes ou mulets. Un cheval atteint d’une balle dans la cuisse gauche est pris en charge par une équipe vétérinaire. Le projectile est retiré. Après avoir au préalable attaché les pattes de l’animal, un drain est passé dans la plaie. Il peut dès lors se relever et effectuer sa convalescence au sein de l’écurie (TC 00:08:32 à 00:11:00).?Les boeufs à grandes cornes dans les verts pâturages, les moutons, les agneaux parqués dans une bergerie construite en fascines ou encore les cochons qui «baignent » dans leur auge font le bonheur des bouchers et des charcutiers militaires.?Les chiens de races très diverses sont entraînés pour devenir des instruments guerriers. Ils peuvent servir de chiens de combat, de porteurs de munitions ou encore d’ animaux de trait. Ils mènent des recherches sur un champ de bataille afin de dénicher les blessés. L’aptitude des chiens de traîneaux à se déplacer aisément dans la neige est largement exploité dans les Vosges.?Les pigeons s’envolent pour livrer des messages à courte et longue distances.?Il n’est pas rare enfin qu’un régiment fasse de son chien trouvé une mascotte. Après tout, le chien n’est-il pas le meilleur ami du soldat !?Si les chats sont des compagnons peu encombrants, le renard est plus rare et plus discuté, tandis que le petit busard semble trouver plus de sécurité avec les soldats français que sur les branches. Les pilotes de l’escadrille « La Fayette » leur préfèrent le lionceau plus encombrant surtout lorsqu’il se débat vigoureusement dans les bras de l’aviateur qui a toutes les peines du monde pour le retenir. |
Commentaire |
Commentaire Les images du repas des chatons sont filmées par l’opérateur Robert Baudouin. au camp du Moulin Rouge (Beaurieux). Voir photos SPA 17 BO 992 et SPA 17 BO 993 prises par l’opérateur Maurice Boulay.?Le chien Fox sur son destrier est filmé par Charles Blanc le 11/07/1917 à Koeur-La -Grande : compte rendu n° 449.?Métrage d’origine inconnu ; métrage conservé 346,7 m.?1+34 cartons en français.?Film n° 643 dans le catalogue » Les films militaires français de la première guerre mondiale « , Françoise Lemaire, 1997. |
Source |
Source ECPAD |
Lien vers la source |
Lien vers la source https://imagesdefense.gouv.fr/fr/les-animaux-pendant-la-guerre.html |
Référence / Identifiant |
Référence / Identifiant 14.18 A 1104 |
https://imagesdefense.gouv.fr/fr/les-animaux-pendant-la-guerre.html