La Femme fatale

Production |
Production Société des Etablissements Gaumont |
---|---|
Pays |
Pays France |
Année de production |
Année de production 1917 |
Année de sortie |
Année de sortie 1917 |
Format |
Format 35 mm |
Métrage |
Métrage 524 m |
Durée |
Durée 29 min |
Genre |
Genre Comédie |
Réalisation |
Réalisation Feuillade, Louis |
Mots-clés |
Mots-clés Femme fatale ; Lettre d'amour ; Plaisanterie ; Prétendant ; Séduction |
Distribution |
Distribution Lévesque, Marcel ; Dario, Yvonne ; Michel, Gaston |
Générique |
Générique Clausse, Léon (Cadreur) ; Comptoir Ciné-Location Gaumont (Distributeur d origine) |
Résumé |
Résumé Luc Sampignol est fou amoureux d‘une jeune femme qui, pour se débarrasser de lui, a consenti à prendre une de ses lettres enflammées. Assis à la terrasse d‘un café, Sampignol ne peut s‘empêcher de faire part de son bonheur à un inconnu, sans savoir que celui-ci est M. Durand, le mari de la jeune femme. Pour s‘amuser, ce dernier met en garde Sampignol, car l‘objet de ses rêves est une femme fatale, pour qui bien des hommes se sont déjà donné la mort. Sampignol écrit alors une nouvelle lettre à la soi-disant femme fatale, où il déclare qu‘il est prêt à mourir pour elle. Les deux époux s‘amusent de la situation et décident de jouer un tour au prétendant. Dans une lettre, qu‘elle signe Nini Novgorod, Mme Durand donne un rendez-vous mystérieux à Sampignol. La nuit venue, celui-ci se rend à l‘adresse indiquée et, après avoir affronté un chien méchant, retrouve sa déesse en présence du cadavre d‘un soupirant. Confronté au fantôme de ce dernier, Sampignol s‘enfuit, affolé, sans comprendre qu‘il a été le jouet d‘une plaisanterie. |
Source |
Source CNC |
Référence / Identifiant |
Référence / Identifiant 27175 |