La Portatrice di pane

Production |
Production Vidali Film |
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Pays |
Pays Italie |
Année de production |
Année de production 1916 |
Année de sortie |
Année de sortie 1916 |
Format |
Format 35 mm |
Métrage |
Métrage 2102 m |
Durée |
Durée 102 min |
Genre |
Genre Drame ; Mélodrame |
Réalisation |
Réalisation Vidali, Giovanni Enrico |
Mots-clés |
Mots-clés Chantage ; Criminel ; Erreur judiciaire ; Industriel ; Innocence ; Séparation |
Distribution |
Distribution Vidali, Giovanni Enrico ; Gandini, Maria ; Rodani, Emilio |
Générique |
Générique Montépin, Xavier de (Auteur de l oeuvre originale) ; Brizzi, Anchise (Directeur de la photographie) ; Les Cinématographes F. Méric (Distributeur France) |
Résumé |
Résumé A la fin du XIXe siècle, Jeanne Fortier, une veuve qui élève seule ses deux enfants, travaille comme concierge dans l‘usine de Jules Labroué à Alfortville. Elle est courtisée par le contremaître Jacques Garaud, dont elle repousse les avances. Celui-ci, pour se venger, vole un projet d‘invention de son patron, incendie l‘usine et tue Jules Labroué en faisant accuser Jeanne. Après avoir tenté de prendre la fuite, la malheureuse est arrêtée et condamnée à perpétuité. Vingt ans plus tard, elle réussit à s‘évader de la prison de Clermont et, sous une fausse identité, devient porteuse de pain. Pendant ce temps, son fils Georges a fait des études d‘avocat, tandis que sa fille Lucie est devenue couturière. De son côté, Jacques Garaud a fait fortune dans l‘industrie en prenant l‘identité d‘un mort. Il veut marier sa fille avec un ingénieur qui n‘est autre que le fils de Jules Labroué, son ancienne victime. Mais les plans de Garaud ne se déroulent pas comme prévu et son passé de criminel est mis à jour par une fripouille qui le fait chanter. Au fil des événements, Jeanne, innocentée, retrouve enfin ses enfants, tandis que Garaud est arrêté. Il se pendra dans sa cellule. |
Source |
Source CNC |
Référence / Identifiant |
Référence / Identifiant 53011 |