L‘Infanterie française dans la bataille.

Country |
Country France |
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Length (time) |
Length (time) 0:19:26 |
Genre |
Genre Documentaire |
Director |
Director SCA-SPCA |
Summary |
Summary La montée en ligne.??Plusieurs unités de fantassins se rassemblent et prennent la route. D'autres s'engagent dans des tranchées. Ils y progressent, se reposent, guêttent ou effectuent des tirs de grenades. Un groupe d'officiers consulte une carte.?Des sapeurs du Génie exécutent divers travaux (terrassement, creusement d'une galerie).?Un ravitaillement en munitions (obus de 75 mm, de 155 mm et autres gros calibres) s'opère par voie ferrée étroite (voie Decauville). Vues d'importants dépôts.?L'artillerie entre en scène. Des colonnes de canons de 75 mm et de 155 long de Bange s'étirent sur des routes de campagne. Des canons d'artillerie lourde sur voie ferrée de 400, 320, 340 et 174 mm sont mis en batterie ; quelques-uns tirent. Les artilleurs s'affairent autour de pièces de 75 mm, de 155 court Schneider, de campagne et de 220 mm, le plus souvent sous filet de camouflage. Les douilles vides sont recueillies et acheminées vers l'arrière. Les tirs et les explosions se succèdent dans les paysages de plaine, vallée, crête, sur un village et en terrain boulversé (secteurs différents).?Après la préparation d'artillerie, les fantassins s'apprêtent à partir à l'assaut. Des officiers, dans leur bureau consultent une carte. Des soldats, dans les tranchées attendent le signal avant de s'élancer sur le terrain de combat et de progresser sous un feu nourri (fumées d'explosions lointaines, fumigènes) (lieux divers dans la Somme, la Marne, la Meuse tels la ferme du Godat, autour de Verdun, etc.) (1). Des hommes progressent en sautant d'un entonnoir à un autre en portant des gabions en guise de protection. Ils attaquent au lance-flamme et à la grenade.?Témoignant du succès de l'offensive, les longues colonnes de prisonniers, encadrées de soldats français, sont dirigées vers des camps où les captifs sont interrogés et nourris.?Les soldats français se reposent et se nourrisent dans leurs abris ou tranchées de seconde ligne, où explosent encore quelques obus. L'un des soldats regarde la caméra en mangeant sa ration entre ses jambes, en étant assis sur le sol (2). Non loin, les villages sont en ruine. Les blessés sont évacués, tandis qu'un aumônier militaire aide à transporter les morts gisant encore dans les tranchées.?Une cérémonie militaire présidée par le général Joffre clôt le film comme un hommage aux troupes. Le général passe en revue les fantassins, qui défilent sur une vaste plaine. Le soldat Gourves du 60e RI (Régiment d'infanterie), décoré de la Légion d'honneur pose pour la caméra. |
Comments |
Comments (1) Images de la ferme du Godat prises lors de l’attaque du 16 avril 1917 sur le Chemin des dames. Voir les mêmes images dans un ordre différent sous les références 14.18 A 317 et 14.18 A 322.?(2) Plan du soldat qui mange assis au sol, gamelle entre ses jambes (TC 00:15:31) : voir correspondance avec la photographie SPA 54 W 2295. |
Source |
Source ECPAD |
Lien vers la source |
Lien vers la source https://imagesdefense.gouv.fr/fr/l-infanterie-francaise-dans-la-bataille.html |
Reference/Identifier |
Reference/Identifier 14.18 A 672 |
https://imagesdefense.gouv.fr/fr/l-infanterie-francaise-dans-la-bataille.html